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En 2018, il y a eu des annonces de partis politiques liées à des volontés d’adopter une loi sur la lutte contre la désinformation, avec des dispositions telles que celles relatives à la mise en place d’un registre de tous les sites Internet contenant des informations sur leur structure de propriété, mais sans propositions concrètes.
En avril 2020, le gouvernement a tenté de modifier le code pénal et d’introduire des peines de prison pour diffusion de « fake news » sur le Covid-19 avec jusqu’à trois ans de prison ou une amende pouvant aller jusqu’à 5 000 €, plus tard sujette à un veto par le Président. Un autre projet de loi a été déposé au Parlement et envisageait des pouvoirs réglementaires accrus pour l’autorité de régulation des médias afin de suspendre les sites internet diffusant de la « désinformation sur Internet ». Contrairement à la première loi, qui n’aurait ciblé que les « fake news » relatives au virus, cette proposition visait toutes les formes de « fausses informations » diffusées en ligne. Les dispositions légales sur la désinformation faisaient partie des discussions au Parlement autour de l’adoption de la directive révisée sur les services de médias audiovisuels, mais cette initiative législative n’a pas été votée lors du processus de transposition.
Une conférence nationale en juin 2021 « L’éducation aux médias en Bulgarie – Qu’avons-nous appris des crises » aborde les problèmes de désinformation et d’éducation aux médias en Bulgarie. A cette occasion, un partenariat entre des organisations de différents secteurs a été établi, organisé avec la Media Literacy Coalition et la Fondation Friedrich Naumann pour la liberté.
En octobre 2018, le principal parti au pouvoir en Bulgarie a lancé un registre Facebook des « fausses nouvelles » nommé « Fake News – Register of Fake News, Lies, Propaganda and Deception »,
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